L’UNESCO organise le 18 octobre à Ouagadougou un Méga Plaidoyer contre les violences faites aux femmes et filles pour allégation de sorcellerie.
En effet, les Nations Unies définissent la violence faite aux femmes comme tout acte de violence fondé sur l’appartenance au sexe féminin et causant ou est susceptible de causer à la femme des dommages ou des souffrances physiques, sexuelles, morales ou psychologiques. Les violences englobent également les actes de menace, la contrainte ou la privation de liberté dans la vie privée ou publique. Au Burkina Faso, en plus de ces cas, il existe des violences dites sociétales ou culturelles, qui du fait de leur ancrage traditionnel et coutumier paraissent légitimes, banales et ordinaires. Il s’agit, principalement des violences liées aux accusations de sorcellerie.
La croyance à la « sorcellerie » n’est ni exclusive à l’Afrique, ni au Burkina Faso. Même si, le concept de sorcellerie est polysémique, dans le contexte burkinabé, il renvoie en général, à la croyance à la capacité surnaturelle de nuisance d’un humain à son prochain, pouvant aboutir à la mort. Les pratiques d’accusation s’accompagnent de violations de droits humains : destruction de matériels et biens, violences multiformes (physiques, morales, psychologiques) et une exclusion de la communauté d’origine. Les femmes sont les principales cibles de ces accusations.
L’UNESCO organise le 18 octobre à Ouagadougou un Méga Plaidoyer contre les violences faites aux femmes et filles pour allégation de sorcellerie.
En effet, les Nations Unies définissent la violence faite aux femmes comme tout acte de violence fondé sur l’appartenance au sexe féminin et causant ou est susceptible de causer à la femme des dommages ou des souffrances physiques, sexuelles, morales ou psychologiques. Les violences englobent également les actes de menace, la contrainte ou la privation de liberté dans la vie privée ou publique. Au Burkina Faso, en plus de ces cas, il existe des violences dites sociétales ou culturelles, qui du fait de leur ancrage traditionnel et coutumier paraissent légitimes, banales et ordinaires. Il s’agit, principalement des violences liées aux accusations de sorcellerie.
La croyance à la « sorcellerie » n’est ni exclusive à l’Afrique, ni au Burkina Faso. Même si, le concept de sorcellerie est polysémique, dans le contexte burkinabé, il renvoie en général, à la croyance à la capacité surnaturelle de nuisance d’un humain à son prochain, pouvant aboutir à la mort. Les pratiques d’accusation s’accompagnent de violations de droits humains : destruction de matériels et biens, violences multiformes (physiques, morales, psychologiques) et une exclusion de la communauté d’origine. Les femmes sont les principales cibles de ces accusations.
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