Cet article examine en premier lieu les contributions de l'éducation aux conflits, à travers la reproduction de l'inégalité et de l’exclusion, la perpétuation des divisions ethniques ou religieuses, l’acceptation de la dominance de l’agressivité masculine ; à travers la sélection, la compétition et la peur, et à travers une déformation des programmes scolaires mettant l’accent sur des zones cognitives étroites de l'apprentissage. Toutefois, le document décrit également quelques « notes positives », telles que les écoles de la résilience, l'impact des initiatives de l'éducation à la paix et l’importance croissante donnée à l'éducation à la citoyenneté mondiale.