Selon les auteurs, le lien entre la pauvreté, l'éducation et le terrorisme est indirect, compliqué et probablement faible. Au lieu de considérer le terrorisme comme une réaction immédiate au manque d’opportunités d’accéder au marché du travail ou comme résultant de l'ignorance, l'article suggère de considérer le terrorisme comme une réaction à des situations politiques et des sentiments d'indignité et de frustration de longue date, dont le lien avec l'économie est faible.